8 août 2024

10 expositions à voir cet été dans toute la France

De Montpellier à Toulouse en passant par Arles et Lacoste : Numéro sélectionne dix expositions où flâner cet été, partout en France.

Exposition “Passions partagées. De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert au Mucem”, jusqu'au 23 septembre 2024 au Mucem - Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée, Marseille. © Photo Laurent Lecat.

Exposition “Passions partagées. De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert au Mucem”, jusqu’au 23 septembre 2024 au Mucem – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, Marseille. © Photo Laurent Lecat.

Exposition “Passions partagées. De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert au Mucem”, jusqu'au 23 septembre 2024 au Mucem - Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée, Marseille. © Photo Laurent Lecat.

Exposition “Passions partagées. De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert au Mucem”, jusqu’au 23 septembre 2024 au Mucem – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, Marseille. © Photo Laurent Lecat.

Exposition “Passions partagées. De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert au Mucem”, jusqu'au 23 septembre 2024 au Mucem - Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée, Marseille. © Photo Laurent Lecat.

Exposition “Passions partagées. De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert au Mucem”, jusqu’au 23 septembre 2024 au Mucem – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, Marseille. © Photo Laurent Lecat.

Exposition “Passions partagées. De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert au Mucem”, jusqu'au 23 septembre 2024 au Mucem - Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée, Marseille. © Photo Laurent Lecat.

Exposition “Passions partagées. De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert au Mucem”, jusqu’au 23 septembre 2024 au Mucem – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, Marseille. © Photo Laurent Lecat.

Exposition “Passions partagées. De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert au Mucem”, jusqu'au 23 septembre 2024 au Mucem - Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée, Marseille. © Photo Laurent Lecat.

Exposition “Passions partagées. De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert au Mucem”, jusqu’au 23 septembre 2024 au Mucem – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, Marseille. © Photo Laurent Lecat.

Masse issue de la fouille sous-marine de La Lomellina dans la rade de Villefranche-sur-Mer. Avant 1516. Bronze et plomb moulé. © Mucem / Marianne Kuhn.

Masse issue de la fouille sous-marine de La Lomellina dans la rade de Villefranche-sur-Mer. Avant 1516. Bronze et plomb moulé. © Mucem / Marianne Kuhn.

Kiki Smith, "Blue Moon III"(2011). © Kiki Smith et Pace Gallery, photo Pace Gallery.

Kiki Smith, « Blue Moon III »(2011). © Kiki Smith et Pace Gallery, photo Pace Gallery.

Yves Rousguisto, instrument de musique provençal de carnaval, Vence, vers 1985. © Mucem / Marianne Kuhn.

Yves Rousguisto, instrument de musique provençal de carnaval, Vence, vers 1985. © Mucem / Marianne Kuhn.

Andres Serrano, "Yellow, Blue, Green" de la série de la chapelle de Matisse à Vence (2015). © © Courtoisie Andres Serrano et Galerie Nathalie Obadia, Paris / Bruxelles, Photo Studio Andres Serrano.

Andres Serrano, « Yellow, Blue, Green » de la série de la chapelle de Matisse à Vence (2015). © © Courtoisie Andres Serrano et Galerie Nathalie Obadia, Paris / Bruxelles, Photo Studio Andres Serrano.

Art contemporain et histoire méditerranéenne : la Collection Lambert au Mucem

Depuis 1966, Yvon Lambert expose dès les premières années de l’ouverture de sa galerie parisienne de grandes figures de l’art contemporain, qui étoffent décennies après décennies sa propre collection. Une collection si riche, qu’elle se disperse aujourd’hui d’exposition en exposition, de l’hôtel de Gallifet aux Rencontres d’Arles en passant par le Mucem, musée avec lequel le galeriste partage l’amour des richesses culturelles de la Provence.

Au sein d’un parcours intitulé “Passions partagées”, les œuvres d’Andres Serrano rencontrent ainsi des instruments de musique provençaux tandis qu’un bronze oxydé de Kiki Smith semble faire écho par ses couleurs à une masse issue de la fouille sous-marine de La Lomellina (avant 1516)… Un melting-pot de création artistique et d’histoire, où flâner tout l’été pour fuir la chaleur marseillaise.

Exposition “Passions partagées. De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert au Mucem”, jusqu’au 23 septembre 2024 au Mucem – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, Marseille.

Extrait de “Dr. Mabuse le joueur” de Fritz Lang (1922) © Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung, Wiesbaden. Heinrich Maria Davringhausen, “Homme en habit bleu” (1915). © Osthaus Museum Hagen, photo : Nicolas Schönherr, Herscheid, © succession Davringhausen.

Extrait de “Dr. Mabuse le joueur” de Fritz Lang (1922) © Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung, Wiesbaden. Heinrich Maria Davringhausen, “Homme en habit bleu” (1915). © Osthaus Museum Hagen, photo : Nicolas Schönherr, Herscheid, © succession Davringhausen.

Extrait de “Golem” de Paul Wegener (1920) © Source : Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung, Wiesbaden. Karl Schmidt-RottluP, “Tour à Eutin” (1921, détail) © Coll. Galerie d'art Emden © VG Bild-Kunst, Bonn 2024.

Extrait de “Golem” de Paul Wegener (1920) © Source : Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung, Wiesbaden. Karl Schmidt-RottluP, “Tour à Eutin” (1921, détail) © Coll. Galerie d’art Emden © VG Bild-Kunst, Bonn 2024.

Extrait de “Nosferatu le vampire” de Friedrich Wilhelm Murnau (1921) © Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung, Wiesbaden. Käthe Kollwitz, “La mort s’empare d’une femme” (1934), Stadtmuseum Tübigen.

Extrait de “Nosferatu le vampire” de Friedrich Wilhelm Murnau (1921) © Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung, Wiesbaden. Käthe Kollwitz, “La mort s’empare d’une femme” (1934), Stadtmuseum Tübigen.

Ludwig Meidner, "Rue à Kreuzberg" (1913, détail). © coll. Willy-Brandt-Haus, Berlin, photo : Jörg F. Müller, Berlin, © Ludwig Meidner-Archiv, Jüdisches Museum der Stadt Frankfurt am Main. Extrait du "Cabinet du Dr Caligari" de Robert Wiene (1920) © Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung, Wiesbaden.

Ludwig Meidner, « Rue à Kreuzberg » (1913, détail). © coll. Willy-Brandt-Haus, Berlin, photo : Jörg F. Müller, Berlin, © Ludwig Meidner-Archiv, Jüdisches Museum der Stadt Frankfurt am Main. Extrait du « Cabinet du Dr Caligari » de Robert Wiene (1920) © Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung, Wiesbaden.

Du cri de Munch aux films d’horreur au musée de Lodève

Au début du 20e siècle, les artistes du mouvement expressionniste traduisent les traumatismes et les mutations de la société au travers d’un langage formel terrifiant et nouveau, où les visages déformés croisent des paysages tourmentés. De la peinture au cinéma, le musée de Lodève explore les influences et les échos entre les médiums et les plasticiens de l’époque, nourrissant un imaginaire rempli de névroses. Les tableaux d’Erich Heckel, d’Otto Dix, ou encore d’Emil Nolde se confrontent ainsi aux célèbres films Nosferatu le vampire (1921), Metropolis (1927), Le Cabinet du docteur Caligari (1920)… et nous plongent dans un univers sombre, en proie à nos psychoses.

Exposition “Psychoses. L’expressionnisme dans l’art et le cinéma”, jusqu’au 15 septembre 2024 au musée de Lodève.

Kader Attia, Rochers Carrés, 2008. Courtesy Kader Attia, Collection Barjeel Art Foundation
- UAE, Collection Sharjah Art Foundation - UAE, Collection Société Générale - France, Fondation Ludwig - Allemagne, CNAP - France et Galerie Nagel Draxler
Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024.
© Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat.

Kader Attia, Rochers Carrés, 2008. Courtesy Kader Attia, Collection Barjeel Art Foundation
– UAE, Collection Sharjah Art Foundation – UAE, Collection Société Générale – France, Fondation Ludwig – Allemagne, CNAP – France et Galerie Nagel Draxler
Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024.
© Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat.

Kader Attia," Halam Tawaaf" (2008). Courtesy Kader Attia et Lehmann Maupin
Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024.
© Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat. Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024.
© Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat.

Kader Attia, » Halam Tawaaf » (2008). Courtesy Kader Attia et Lehmann Maupin
Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024.
© Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat. Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024.
© Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat.

Kader Attia, "On Silence" (2021). Courtesy Kader Attia Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024. © Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat

Kader Attia, « On Silence » (2021). Courtesy Kader Attia Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024. © Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat

"Intifada: The Endless Rhizomes of Revolution" (2016). Courtesy Kader Attia et / and Galerie Nagel Draxler. Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024. © Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat.

« Intifada: The Endless Rhizomes of Revolution » (2016). Courtesy Kader Attia et / and Galerie Nagel Draxler. Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024.
© Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat.

Kader Attia, Culture, "Another Nature Repaired" (2024). Courtesy Kader Attia, Galerie Nagel Draxler et mor Charpentier Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024. © Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat.

Kader Attia, Culture, « Another Nature Repaired » (2024). Courtesy Kader Attia, Galerie Nagel Draxler et mor Charpentier
Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024.
© Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat.

Kader Attia, "La Mer Morte" (2015). Courtesy Kader Attia et Regen Projects Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024. © Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat.

Kader Attia, « La Mer Morte » (2015). Courtesy Kader Attia et Regen Projects
Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024.
© Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat.

Kader Attia, "Eternal Conversation" (2024). Courtesy Kader Attia et mor Charpentier Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024. © Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat.

Kader Attia, « Eternal Conversation » (2024). Courtesy Kader Attia et mor Charpentier
Vue d’exposition, « Descente au Paradis. Kader Attia », MO.CO., Montpellier, 2024.
© Kader Attia. Adagp, Paris, 2024. Courtesy de l’artiste. Photo : Laurent Lecat.

La monographie de Kader Attia au MO.CO.

Des dizaines de prothèses de jambe pendues au plafond, des centaines de canette sde soda alignées en spirale, des piles de vêtements étalées au sol… Ces installations surprenantes côtoient, dans les espaces du MO.CO., des photographies de paysage et d’autres sculptures imposantes et protéiformes. Et toutes sont signées d’un seul et même artiste : Kader Attia

Né en 1970, le plasticien français explore depuis ses débuts tous les médiums possibles et immaginables, façonnant un vocabulaire visuel propre. Pour le musée montpelliérain, il s’inspire de la géographie du lieu, dont le parcours s’étendant du haut vers le bas déploie ses œuvres les plus célèbres et quelques unes inédites, conçues spécialement pour l’exposition, à l’image d’une installation composée de bâtons de pluie et d’un film tourné dans le nord de la Thaïlande… 

Exposition “Descente au Paradis, Kader Attia”, jusqu’au 22 septembre 2024 au MO.CO., 13 rue de la République, Montpellier.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez - © Adagp, Paris 2024.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez – © Adagp, Paris 2024.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez - © Adagp, Paris 2024.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez – © Adagp, Paris 2024.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez - © Adagp, Paris 2024.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez – © Adagp, Paris 2024.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez - © Adagp, Paris 2024.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez – © Adagp, Paris 2024.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez - © Adagp, Paris 2024.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez – © Adagp, Paris 2024.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez - © Adagp, Paris 2024.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez – © Adagp, Paris 2024.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez - © Adagp, Paris 2024.

Anna Solal – Mille Projectiles, vue de l’exposition au Frac Occitanie Montpellier, 2024. Photo Christian Perez – © Adagp, Paris 2024.

Les étranges figures d’Anna Solal au Frac Occitanie

Sur les cimaises du Frac Occitanie, des dizaines de personnages peints peuplent l’exposition dédiée à la jeune artiste Anna Solal. Certains nous font face, tandis que d’autres ont le visage recouvert d’une étrange cocotte en papier, imitant les filtres Instagram. Ornant certaines toiles, des morceaux de corde enroulée, des vêtements, des puces électroniques… Autant de matériaux issus de notre sociétés de consommation, glanés par la plasticienne pour produire ses œuvres par collage et couture et donner, à ces objets, de nouveaux signifiants. 

Exposition “Mille Projectiles – Anna Solal”, jusqu’au 28 décembre 2024 au Frac Occitanie, 4-6 Rue Rambaud, Montpellier.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu'au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d'Assezat, Toulouse.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d’Assezat, Toulouse.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu'au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d'Assezat, Toulouse.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d’Assezat, Toulouse.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu'au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d'Assezat, Toulouse.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d’Assezat, Toulouse.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu'au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d'Assezat, Toulouse.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d’Assezat, Toulouse.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu'au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d'Assezat, Toulouse.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d’Assezat, Toulouse.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu'au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d'Assezat, Toulouse.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d’Assezat, Toulouse.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu'au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d'Assezat, Toulouse.

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d’Assezat, Toulouse.

Une siècle de photographie sud-américaine à la Fondation Bemberg

Après avoir fait peau neuve le temps de longs travaux de rénovation, la Fondation Bemberg rouvrait ses portes toulousaines en début d’année, et inaugure cet été sa première exposition. Imaginé comme un retour aux origines de son illustre fondateur éponyme né en 1915 à Buenos Aires, le parcours déploie plus d’un siècle de photographie latino-américaine, s’étendant de 1910 à 2023, et présente le travail de 83 artistes au gré de centaines de clichés pris sur le continent sud-américain. 

Anonymes, scènes d’histoires, divas latines, figures religieuses… L’institution nous immerge dans l’imaginaire visuel et culturel de ces “paradis” latins, et révèle au grand public le nom de photographes encore, pour la plupart, méconnus. 

Exposition “Les paradis latins : étoiles sud-américaines”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Bemberg, Place d’Assezat, Toulouse.

Exposition “Edith Dekyndt, Specific Subjects”, jusqu'au 27 octobre 2024 à la Fondation CAB, Saint-Paul-de-Vence.© Exhibition courtesy. Fondation CAB © 2024. © Photo Antoine Lippens.

Exposition “Edith Dekyndt, Specific Subjects”, jusqu’au 27 octobre 2024 à la Fondation CAB, Saint-Paul-de-Vence.© Exhibition courtesy. Fondation CAB © 2024. © Photo Antoine Lippens.

Exposition “Edith Dekyndt, Specific Subjects”, jusqu'au 27 octobre 2024 à la Fondation CAB, Saint-Paul-de-Vence.© Exhibition courtesy. Fondation CAB © 2024. © Photo Antoine Lippens.

Exposition “Edith Dekyndt, Specific Subjects”, jusqu’au 27 octobre 2024 à la Fondation CAB, Saint-Paul-de-Vence.© Exhibition courtesy. Fondation CAB © 2024. © Photo Antoine Lippens.

Exposition “Edith Dekyndt, Specific Subjects”, jusqu'au 27 octobre 2024 à la Fondation CAB, Saint-Paul-de-Vence.© Exhibition courtesy. Fondation CAB © 2024. © Photo Antoine Lippens.

Exposition “Edith Dekyndt, Specific Subjects”, jusqu’au 27 octobre 2024 à la Fondation CAB, Saint-Paul-de-Vence.© Exhibition courtesy. Fondation CAB © 2024. © Photo Antoine Lippens.

Exposition “Edith Dekyndt, Specific Subjects”, jusqu'au 27 octobre 2024 à la Fondation CAB, Saint-Paul-de-Vence.© Exhibition courtesy. Fondation CAB © 2024. © Photo Antoine Lippens.

Exposition “Edith Dekyndt, Specific Subjects”, jusqu’au 27 octobre 2024 à la Fondation CAB, Saint-Paul-de-Vence.© Exhibition courtesy. Fondation CAB © 2024. © Photo Antoine Lippens.

L’exposition sensible et tactile d’Edith Dekyndt à la Fondation CAB

À la Fondation CAB, la célèbre conservatrice María Inés Rodríguez invite l’artiste belge Edith Dekyndt à s’exprimer au sein des salles immaculées et illuminées du musée. Dans un camaïeu de couleurs et de matières, la plasticienne tisse des liens entre savoir-faire ancestraux et enjeux contemporains, façonnant ses installations au gré de matériaux récupérés dans la région d’Antibes. Marc de vin, rocher, coquillages… Un parcours sensible et tactile, entre nature et sculpture.

Exposition “Edith Dekyndt, Specific Subjects”, jusqu’au 27 octobre 2024 à la Fondation CAB, Saint-Paul-de-Vence.

Exposition “Le rôle d'une vie. GB Agency”, jusqu'au 29 septembre 2024 à la Collection Lambert, Avignon.

Exposition “Le rôle d’une vie. GB Agency”, jusqu’au 29 septembre 2024 à la Collection Lambert, Avignon.

Exposition “Le rôle d'une vie. GB Agency”, jusqu'au 29 septembre 2024 à la Collection Lambert, Avignon.

Exposition “Le rôle d’une vie. GB Agency”, jusqu’au 29 septembre 2024 à la Collection Lambert, Avignon.

Exposition “Le rôle d'une vie. GB Agency”, jusqu'au 29 septembre 2024 à la Collection Lambert, Avignon.

Exposition “Le rôle d’une vie. GB Agency”, jusqu’au 29 septembre 2024 à la Collection Lambert, Avignon.

Exposition “Le rôle d'une vie. GB Agency”, jusqu'au 29 septembre 2024 à la Collection Lambert, Avignon.

Exposition “Le rôle d’une vie. GB Agency”, jusqu’au 29 septembre 2024 à la Collection Lambert, Avignon.

La Collection Lambert célèbre la galerie gb agency à Avignon

Dans le cadre des Rencontres d’Arles, la Collection Lambert organise une exposition dédiée, non pas à sa collection, mais à l’histoire de la galerie gb agency, définitivement fermée depuis décembre 2023. Hommage à son importance dans l’histoire de l’art et dans celle des galeries des trois dernières décennies, le parcours revient sur l’œuvre de quinze artistes emblématiques qui furent représentés par l’institution (de Mac Adams à Ryan Gander en passant par Jiri Koyanda) et retrace ses engagements, au cœur des problématiques esthétiques et politiques de son époque. 

Exposition “Le rôle d’une vie. GB Agency”, jusqu’au 29 septembre 2024 à la Collection Lambert, Avignon.

La fondation Van Gogh à Arles. © Photo François Deladerrière.

La fondation Van Gogh à Arles. © Photo François Deladerrière.

Exposition “Van Gogh et les étoiles”, jusqu'au 8 septembre 2024 à la Fondation Vincent van Gogh, Arles. © Photo François Deladerrière.

Exposition “Van Gogh et les étoiles”, jusqu’au 8 septembre 2024 à la Fondation Vincent van Gogh, Arles. © Photo François Deladerrière.

Exposition “Van Gogh et les étoiles”, jusqu'au 8 septembre 2024 à la Fondation Vincent van Gogh, Arles. © Photo François Deladerrière.

Exposition “Van Gogh et les étoiles”, jusqu’au 8 septembre 2024 à la Fondation Vincent van Gogh, Arles. © Photo François Deladerrière.

Exposition “Van Gogh et les étoiles”, jusqu'au 8 septembre 2024 à la Fondation Vincent van Gogh, Arles. © Photo François Deladerrière.

Exposition “Van Gogh et les étoiles”, jusqu’au 8 septembre 2024 à la Fondation Vincent van Gogh, Arles. © Photo François Deladerrière.

Exposition “Van Gogh et les étoiles”, jusqu'au 8 septembre 2024 à la Fondation Vincent van Gogh, Arles. © Photo François Deladerrière.

Exposition “Van Gogh et les étoiles”, jusqu’au 8 septembre 2024 à la Fondation Vincent van Gogh, Arles. © Photo François Deladerrière.

Exposition “Van Gogh et les étoiles”, jusqu'au 8 septembre 2024 à la Fondation Vincent van Gogh, Arles. © Photo François Deladerrière.

Exposition “Van Gogh et les étoiles”, jusqu’au 8 septembre 2024 à la Fondation Vincent van Gogh, Arles. © Photo François Deladerrière.

La fascination des artistes pour les étoiles à la Fondation Van Gogh

Un soir de 1888, Vincent Van Gogh attend la nuit tombée, et s’installe au bord du Rhône, à Arles, pour observer le ciel étoilé. Totalement dégagée, la vue marque alors l’esprit du peintre, qui la transforme en obsession, écrivant dans des lettres à sa sœur et à ses amis qu’il lui fallait “absolument” peindre ce ciel étoilé. 

En ressort l’un des tableaux les plus célèbres et poétiques de l’histoire de l’art, Nuit étoilée sur le Rhône, prêté par le musée d’Orsay à la Fondation Van Gogh d’Arles pour l’été. Peinte à quelques mètres du lieu, la toile se transforme ici en point de départ d’une large exposition où le travail d’artistes antérieurs et ultérieurs fait écho à celui du maître néerlandais, de la culture astronomique du milieu du 19e siècle aux hypothèses métaphysiques et spirituelles liées à l’astrologie ou à la religion. 

Exposition “Van Gogh et les étoiles”, jusqu’au 8 septembre 2024 à la Fondation Vincent van Gogh, Arles.

Vue de l’exposition « CinéMode par Jean Paul Gaultier » – SCAD Lacoste, printemps 2024 © 2024 Savannah College of Art and Design.

Vue de l’exposition « CinéMode par Jean Paul Gaultier » – SCAD Lacoste, printemps 2024 © 2024 Savannah College of Art and Design.

Vue de l’exposition « CinéMode par Jean Paul Gaultier » – SCAD Lacoste, printemps 2024 © 2024 Savannah College of Art and Design.

Vue de l’exposition « CinéMode par Jean Paul Gaultier » – SCAD Lacoste, printemps 2024 © 2024 Savannah College of Art and Design.

Vue de l’exposition « CinéMode par Jean Paul Gaultier » – SCAD Lacoste, printemps 2024 © 2024 Savannah College of Art and Design.

Vue de l’exposition « CinéMode par Jean Paul Gaultier » – SCAD Lacoste, printemps 2024 © 2024 Savannah College of Art and Design.

Vue de l’exposition « CinéMode par Jean Paul Gaultier » – SCAD Lacoste, printemps 2024 © 2024 Savannah College of Art and Design.

Vue de l’exposition « CinéMode par Jean Paul Gaultier » – SCAD Lacoste, printemps 2024 © 2024 Savannah College of Art and Design.

La passion de Jean Paul Gaultier pour le cinéma à SCAD Lacoste

Organisé sous la direction artistique de Jean Paul Gaultier en collaboration avec La Cinémathèque (où l’exposition ouvrait ses portes pour la première fois en 2021), CinéMode revient pour une seconde édition entre les murs de l’université en Provence, le Savannah College of Art and Design (SCAD) de Lacoste. 

Des silhouettes haute couture aux costumes influencés par ou créés pour le cinéma (Besson, Almodóvar) par le couturier français, l’univers unique et avant-gardiste de ce dernier se déploie entre les films et les acteurs qui ont nourri son imagination, et sa passion pour le septième art.

Exposition “CinéMode par Jean Paul Gaultier”, jusqu’au 30 septembre 202 à la SCAD FASH | Museum of Fashion + Film, Lacoste.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères. © Photo Thibaut Chapotot / Fondation Carmignac.

La femme, leitmotiv de l’histoire de l’art à la Fondation Carmignac

À Porquerolles, une légende se transmet de génération en génération : l’île serait une jeune princesse endormie, entourée de ses deux sœurs (les îles de PortCros et du Levant), transformée ainsi pour réchapper à l’attaque de bateaux pirates. Un mythe féminin fondateur, qui inspire cette année à la Fondation Carmignac une exposition dédiée à la représentation de la femme à travers les époques, et sous toutes ses formes. Du pinceau de Botticelli à celui de Judy Chicago, en passant par les sculptures de Louise Bourgeois et celles de Kiki Smith : plongée dans les méandres de la féminité. 

Exposition “The Infinite Woman”, jusqu’au 3 novembre 2024 à la Fondation Carmignac, Piste de la Courtade, Île de Porquerolles, Hyères.