Miss Dior, leopard and sequins… 3 things to remember about the Dior show
Au sein du jardin des Tuileries à Paris, Dior présente un défilé automne-hiver 2024-2025 inspiré par les sixties. Voici trois choses à retenir de ce moment incontournable de la Fashion Week de Paris.
Après une collection haute couture présentée dans les jardins du musée Rodin à Paris en janvier dernier, Dior prend, ce mardi 27 février 2024, ses quartiers aux Tuileries pour dévoiler son défilé femme automne-hiver 2024-2025.
Et, comme pour chaque présentation, la scénographie est spécialement imaginée par une artiste invitée. Si, la saison passée Maria Grazia Chiuri, directrice artistique des collections féminines depuis 2017, faisait appel à l’artiste italienne Elena Bellantoni, cette fois-ci, c’est au tour de l’artiste indienne Shakuntala Kulkarni de donner sa vision de la féminité.
Ainsi naît une forêt de bambous telle une canopée 2.0, où trône au centre une installation de sculptures en rotin intitulée Of Bodies, Armour and Cages, interrogeant le corps des femmes et sa relation aux différents espaces.
Une œuvre qui résonne en effet avec le thème de cette collection automne-hiver 2024-2025. Inspiré par les grandes heures de Marc Bohan chez Dior (1961 à 1989), ce défilé opère surtout un véritable voyage dans le temps, jusqu’aux sixties. “Maria Grazia Chiuri s’est penchée sur cette époque de transition de la fin des années 60, où la mode sortait du cadre de l’atelier pour conquérir le monde” indique un communiqué.
Pour incarner au mieux cette époque, la créatrice s’inspire alors de la ligne Miss Dior, créée par Marc Bohan en 1967, qui introduit au monde le prêt-à-porter de la maison. Numéro a sélectionné trois choses à retenir de ce défilé…
The Dior show is inspired by the sixties
Le défilé Dior inspiré par les sixties
Après une collection haute couture présentée dans les jardins du musée Rodin à Paris en janvier dernier, Dior prend, ce mardi 27 février 2024, ses quartiers aux Tuileries pour dévoiler son défilé femme automne-hiver 2024-2025.
Et, comme pour chaque présentation, la scénographie est spécialement imaginée par une artiste invitée. Si, la saison passée Maria Grazia Chiuri, directrice artistique des collections féminines depuis 2017, faisait appel à l’artiste italienne Elena Bellantoni, cette fois-ci, c’est au tour de l’artiste indienne Shakuntala Kulkarni de donner sa vision de la féminité.
Ainsi naît une forêt de bambous telle une canopée 2.0, où trône au centre une installation de sculptures en rotin intitulée Of Bodies, Armour and Cages, interrogeant le corps des femmes et sa relation aux différents espaces.
Une œuvre qui résonne en effet avec le thème de cette collection automne-hiver 2024-2025. Inspiré par les grandes heures de Marc Bohan chez Dior (1961 à 1989), ce défilé opère surtout un véritable voyage dans le temps, jusqu’aux sixties. “Maria Grazia Chiuri s’est penchée sur cette époque de transition de la fin des années 60, où la mode sortait du cadre de l’atelier pour conquérir le monde” indique un communiqué.
Pour incarner au mieux cette époque, la créatrice s’inspire alors de la ligne Miss Dior, créée par Marc Bohan en 1967, qui introduit au monde le prêt-à-porter de la maison. Numéro a sélectionné trois choses à retenir de ce défilé…
1. The Miss Dior pays hommage to Marc Bohan
1. Le Miss Dior, un hommage à Marc Bohan
Parmi toutes ces silhouettes mêlant décontraction et élégance, on retient certains looks à l’allure sixties sublimés de logos revisités. Pas de monogrammes, ni de simple nom de marque apposé sur le tissu, mais bien deux mots en hommage à la ligne Miss Dior. Sur un trench (look 3), une jupe (look 7) et même sur une veste (look 36), il se décline façon coup de pinceaux.
1. The Miss Dior pays hommage to Marc Bohan
1. Le Miss Dior, un hommage à Marc Bohan
Parmi toutes ces silhouettes mêlant décontraction et élégance, on retient certains looks à l’allure sixties sublimés de logos revisités. Pas de monogrammes, ni de simple nom de marque apposé sur le tissu, mais bien deux mots en hommage à la ligne Miss Dior. Sur un trench (look 3), une jupe (look 7) et même sur une veste (look 36), il se décline façon coup de pinceaux.
2. The leopard print of the autumn-winter 2024-2025 collection
2. L’imprimé léopard de la collection automne-hiver 2024-2025
Autre grande tendance de ce défilé automne-hiver 2024-2025, le léopard. Audacieux sans frôler le too much, la maison parisienne propose des looks qui iraient à merveille à l’iconique Fran Fine dans la série Une nounou d’enfer. Les looks 56, 57, 58 et 59 exaltent un tailoring impeccable et jouent des longueurs et des coupes, tous animés par cet imprimé animalier.
2. The leopard print of the autumn-winter 2024-2025 collection
2. L’imprimé léopard de la collection automne-hiver 2024-2025
Autre grande tendance de ce défilé automne-hiver 2024-2025, le léopard. Audacieux sans frôler le too much, la maison parisienne propose des looks qui iraient à merveille à l’iconique Fran Fine dans la série Une nounou d’enfer. Les looks 56, 57, 58 et 59 exaltent un tailoring impeccable et jouent des longueurs et des coupes, tous animés par cet imprimé animalier.
3. The sequins of the Dior show
3. Les sequins du défilé Dior
Si ce vestiaire hivernal met surtout en lumière des silhouettes épaisses composées de manteaux ou de vestes, la fin de ce défilé automne-hiver 2024-2025 laisse la place à des looks parfaits pour les nightclubs. Ces robes inspirées, cette fois-ci, par les Roaring Twenties, sont rehaussées de franges brillantes qui virevoltent à chaque pas (de danse).
3. The sequins of the Dior show
3. Les sequins du défilé Dior
Si ce vestiaire hivernal met surtout en lumière des silhouettes épaisses composées de manteaux ou de vestes, la fin de ce défilé automne-hiver 2024-2025 laisse la place à des looks parfaits pour les nightclubs. Ces robes inspirées, cette fois-ci, par les Roaring Twenties, sont rehaussées de franges brillantes qui virevoltent à chaque pas (de danse).