29 mai 2018

Ce week-end, la vague We Love Green déferle sur Paris

Ce week-end, le festival We Love Green et sa programmation folle prennent leurs quartiers sur la plaine de la Belle Étoile, au cœur du bois de Vincennes où plus de 70 000 festivaliers sont attendus. Au programme : des conférences, de nouveaux restaurants, des DJ-sets, Migos, Björk, Charlotte Gainsbourg, King Krule, The Internet…

Les 2 et 3 juin, le festival écolo We Love Green investit 10 hectares du bois de Vincennes où plus de 70 000 visiteurs sont attendus. Pour cette septième édition, We Love Green s’offre la Canopée, un troisième espace destiné aux nouveaux talents de la scène musicale française et internationale : IAMDDB, Vendredi-sur-Mer, Cannibale, Myth Sizer ou encore Evergreen. Cette nouvelle scène rejoint la Prairie et la Clairière  le trio provocateur d’Atlanta Migos, effectuera sa première (et unique) performance live en France. Puis se sera au tour du crooner anglais King Krule d'écumer son spleen rejoint par le fantasque Tyler the Creator, la néo soul ultra groovy de The Internet et le crew dopé à la dynamite Odd Future. Au programme également : l’insaisissable et légendaire chanteuse islandaise Björkles sœurs Ibeyi et leur petite protégée Angèle, Charlotte Gainsbourg, la diva contemporaine Jorja Smith, la miss transgenre Honey Dijon, The Black Madonna et sa house tonitruante ou encore la DJ russe Nina Kraviz. Côté rap français, Orelsan et Lomepal défendront le drapeau tricolore, à domicile.

 

Sur place, une cinquantaine de restaurants “écolos” ont émergé pour nourrir les festivaliers les plus affamés. Du simple food truck au stand estampillé “végan”, le festival garantit une nourriture saine élaborée à partir de produits de saison et suit scupuleusement les principes du commerce équitable et du développement durable. À cette programmation aussi riche qu'éclectique se greffent également de nombreuses conférences animées par plus de 50 intervenants internationaux dont Ernst Zürcher (Ingénieur forestier), François Sarano (Docteur en océanographie) ou encore Jacques Attali, fondateur de Positive Planet. Un moyen efficace de sensibiliser un large public venu découvrir la fine fleur de la musique.