Elsa Hosk à Los Angeles, le 12 octobre 2023 © Photo par Rachpoot/Bauer-Griffin/GC Images.
Le sac seau, ou Bucket Bag, tire son nom de ses origines dans la maroquinerie française. En 1932, Gaston Louis-Vuitton reçoit une commande spéciale pour un sac en cuir assez robuste permettant de transporter cinq bouteilles de champagne. C'est ainsi que naît le Noé, un sac emblématique marquant un tournant dans l’histoire de la maroquinerie avec son fond plat, son ouverture généreuse et son cordon de serrage.
Au-delà de sa fonctionnalité initiale, le sac seau est devenu un compagnon incontournable du quotidien. Cette saison, il se décline dans une variété de tailles, du mini au maxi, de couleurs et de matériaux, s’adaptant à tous les besoins et tous les styles. Son allure décontractée incarne la nonchalance si caractéristique de l’élégance à la française, rompant avec la rigidité des sacs traditionnels.
Le seau mini
Véritable pépites de la maroquinerie, les sacs seau miniatures confèrent une contemporanéité à chaque silhouette. Que l’on succombe au côté rebelle du modèle Cagole XS de Balenciaga, à l’iconique sac Noé en cuir rose de Louis Vuitton, ou au sac seau noir de Vivienne Westwood, sublimé par un logo en métal doré, chaque pièce dégage à la fois un certain minimalisme et une sophistication sans pareille.
Sac seau Le Cagole XS en cuir, 1 850 €, Balenciaga.
Sac seau NéoNoé BB, 1 800 €, Louis Vuitton.
Sac seau Daisy Small, 420 €, Vivienne Westwood.
Le seau panier
Inspirés des paniers, les sacs seau en osier sont au cœur de la tendance romantic core. Elégants et décontractés, ces accessoires évoquent les journées ensoleillées à la campagne, qu’il s’agisse d'un sac en osier naturel du maroquinier belge Delvaux, d'un sac en raphia chez Patou, ou d'un sac orné de touches de cuir chez Mango.
Mini bucket en osier, 3 000 €, Delvaux.
Sac seau en raphia, 490 €, Patou.
Sac seau effet raphia, 39,99 €, Mango.
Le seau bordeaux
La couleur bordeaux continue de captiver par son intemporalité et son chic, séduisant aussi l’univers de la maroquinerie comme en témoigne la prestigieuse maison Saint Laurent l’ayant récemment adopté, notamment pour son dernier né, Le 37. Chez Rouje, on embrasse également la nuance ainsi que chez Loewe qui choisit la teinte pour son modèle Pebble.
Sac seau en cuir Le 37 Mini, 1 790 €, Saint Laurent.
Sac seau en cuir bordeaux, 295 €, Rouje.
Mini sac seau Pebble, 1 800 €, Loewe.
Le seau vert
La fascination pour le vert ne faiblit pas... Et pour preuve, cette teinte envoutante orne désormais les sacs seau dans une palette riche et variée. Du vert pomme éclatant de Longchamp au vert menthe glacée de Valentino, en passant par le vert sauge de Polène, cette couleur accorde une touche de fraîcheur à toutes les silhouettes.
Sac seau, 320 €, Longchamp.
Sac seau Vlogo Signature Small en cuir, 980 €, Valentino Garavani.
Sac numéro huit mini, 340 €, Polène.
Le seau jaune
Le jaune a émergé dans le tourbillon des teintes printanières, infusant les sacs seau d’une énergie solaire. Tandis que la maison italienne Bottega Veneta dévoile un sac en cuir tressé couleur tournesol, la maison Fendi illumine l'iconique Mon Trésor d’un jaune flamboyant. Côté français, l’emblématique Lancel propose son Ninon dans un jaune citron givré, décidément parfait pour l’été.
Sac seau Kalimero Mini en cuir, 4 900 €, Bottega Veneta.
Sac Mon Tresor, 1 550 €, Fendi.
Sac Ninon, 650 €, Lancel.
Le seau blanc
Absolument irrésistibles, les sacs seau blancs transforment instantanément tous les looks. Alors que Loro Piana incarne l’essence même de la pureté dans un format maxi, Pucci évoque l’esprit maritime à travers une création en toile de coton tandis que Burberry, fidèle à son image, propose une version blanc cassé, rehaussée d’une sangle en cuir pour une allure à la fois décontractée et raffinée.
Sac Bale Large en cuir, 3 400 €, Loro Piana.
Sac seau en toile de coton, 1 400 €, Pucci.
Sac seau TB, 1 150 €, Burberry.
