21 sept 2023

Pyjamas et robes aériennes : luxe et volupté au défilé Alberta Ferretti

Au défilé printemps-été 2024, Alberta Ferretti sculpte un archétype féminin élégant à coups de coupes légères, aériennes et imperméables aux tendances éphémères.

Les inspirations du défilé Alberta Ferretti printemps-été 2024

 

Comme depuis ses débuts dans les années 70, Alberta Ferretti n’a qu’une seule source d’inspiration : la féminité, et son exploration. Depuis près de quatre décennies, la créatrice italienne sculpte un archétype féminin élégant à coup de coupes légères et aériennes qui résistent chaque saison aux tendances éphémères. Une formule cohérente, maîtrisée sur le bout des doigts, qui contribue à la longévité de la maison – et que sa collection printemps-été 2024 ne fait que prolonger.

 

Alors qu’un vent orageux s’engouffre entre les colonnes du château milanais des Sforza, les mannequins du défilé Alberta Ferretti déroulent un vestiaire intemporel, dont les délicats tissus s’envolent à chacun de leur pas. Dans un camaïeu de bleu, de beige, de rose, de blanc et de camel, cette collection printemps-été 2024 dessine les courbes d’une femme à la fois chic et décontractée, consciente de ce qui la met en valeur – tout en restant dans l’air du temps. À l’image, notamment, de ces ensembles style pyjama, aussi confortables que branchés, ou encore ces robes élégamment drapées autour de la poitrine et de la taille.

 

Le passage remarqué de Grace Burns au défilé Alberta Ferretti printemps-été 2024

 

En plein milieu du défilé Alberta Ferretti printemps-été 2024, tous les invités ont précipitamment tendu leur téléphone vers le podium. La raison ? Le passage très remarqué de la jeune Grace Burns, enveloppée d’une robe moulante asymétrique au motif floral. Fille de la Supermodel Christy Turlington, icône de mode au cœur d’un documentaire dévoilé cette semaine sur Apple TV+, cette dernière semble ainsi perpétuer le brillant héritage de sa mère, avec autant d’élégance et d’assurance – et possède ainsi assurément l’allure signature d’Alberta Ferretti.