Après avoir proposé une collection automne-hiver inspirée de l’esthétique du peintre abstrait Frank Stella au Centre Pompidou, la créatrice Stella McCartney présente, cette fois-ci sur la piazza de l’institution parisienne, une collection printemps-été résolument glamour où le workwear minimal s’associe à des details sensuels. Sur le podium, le premier look incarne à merveille ce dialogue, associant un ensemble blaser oversize noir et chemise blanche à une jupe asymétrique portée avec des sandales nudes qui se confondent avec les résilles chair des collants. Les vêtements deviennent des bijoux, portés à même la peau sous des vestes de costume architecturées. Le plastron à chaines dorées ou argentées, tout droit tiré des archives de la collection printemps-été Chloé élaborée par la créatrice en 2000, habille un simple débardeur blanc. En version total look, Bella Hadid apparaît sculpturale dans une combinaison seconde-peau outrageusement sexy en strass.
Combinant minimalisme et tonalités solaires, les pièces utilitaires se déclinent en couleurs estivales, comme en écho aux tons pop du bâtiment, conçu par Renzo Piano et Richard Rogers. Un bombers citron habille une robe chemise nude, une combinaison de travail se pare d’un corset et se décline en rose flash tandis que un ensemble tailleur pantalon vire au menthe. En parallèle, les inspirations Y2K irriguent la collection, et son issues des archives. La veste tailoring se raccourcit pour dévoiler les hanches, surmontée d’une ceinture en chaine dorée sur un pantalon taille basse, tandis que le veston se porte à même la peau, associé à un pantalon taille basse à découpes strass en forme d’étoiles.
Encore une fois, Stella McCartney prouve qu’elle sait conjuguer glamour et engagement écologique. Le défile intitulé Change in History propose des pièces en matériaux à 87% durables, utilisant le coton régénérateur ou encore le cuir vegan pour les sandales ou les rapiècements sur denim. Si les tenues de soirée scintillantes épousent les courbes du corps dans des drapés fluides, comme cette mini robe incrustée de cristaux associée à une cape, elles mobilisent aussi un savoir-faire éco-responsable, n’utilisant aucune matière toxique.
L’acteur Will Peltz, la mannequin Kenya Jones, la fille de Bill Gates Phoebe Gates, la chanteuse Paris Jackson
Les mannequins Karlie Kloss, Joan Smalls et Poppy Delevigne
La chanteuse Paris Jackson
La mannequin Karlie Kloss
La mannequin Poppy Delevigne
La joueuse de tennis Alizé Lim
Le Dr. Barbara Sturm
La chanteuse Ellie Goulding
La mannequin Gabrielle Caunesil
L’artiste Jeff Koons
Le co-fondateur de Dazed Media Jefferson Hack et la mannequin Anna Cleveland
L’humoriste Jerry Seinfeld et l’auteure Jessica Seinfeld
La mannequin Joann Small
La mannequin Kenya Jones et l’acteur Will Peltz
Le créateur Kyle De’Volle
Le chanteur Jadden Smith et la créatrice Stella McCartney
L’influenceuse Olivia Neill
La mannequin Poppy Delevigne
Le joueur de basketball Tony Parker et la joueuse de tennis Alize Lim
Le joueur de basketball Tony Parker
L’acteur Will Peltz, la mannequin Kenya Jones, la fille de Bill Gates Phoebe Gates, la chanteuse Paris Jackson
Les mannequins Karlie Kloss, Joan Smalls et Poppy Delevigne
La chanteuse Paris Jackson
La mannequin Karlie Kloss
La mannequin Poppy Delevigne
La joueuse de tennis Alizé Lim
Le Dr. Barbara Sturm
La chanteuse Ellie Goulding
La mannequin Gabrielle Caunesil
L’artiste Jeff Koons
Le co-fondateur de Dazed Media Jefferson Hack et la mannequin Anna Cleveland
L’humoriste Jerry Seinfeld et l’auteure Jessica Seinfeld
La mannequin Joann Small
La mannequin Kenya Jones et l’acteur Will Peltz
Le créateur Kyle De’Volle
Le chanteur Jadden Smith et la créatrice Stella McCartney
L’influenceuse Olivia Neill
La mannequin Poppy Delevigne
Le joueur de basketball Tony Parker et la joueuse de tennis Alize Lim
Le joueur de basketball Tony Parker
L’acteur Will Peltz, la mannequin Kenya Jones, la fille de Bill Gates Phoebe Gates, la chanteuse Paris Jackson