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14 13 façons de porter les épaules XXL sélectionnées par Numéro

13 façons de porter les épaules XXL sélectionnées par Numéro

Tendances 2023

Découvrez 13 façons de porter les épaules XXL sélectionnées par Numéro sur les podiums des défilés automne-hiver 2020-2021.

  • La collection, Balenciaga par Demna Gvasalia qui pioche dans le dramatique et l’extravagant, explore également la notion de désir en débauchant un vestiaire austère à coups de détails fétichistes et érotiques. Ainsi les silhouettes droites aux épaules imposantes s’agrémentent de cadenas, épingles à nourrice, cuir verni et de matières ultra moulantes ou de cuissardes XXL.

    La collection, Balenciaga par Demna Gvasalia qui pioche dans le dramatique et l’extravagant, explore également la notion de désir en débauchant un vestiaire austère à coups de détails fétichistes et érotiques. Ainsi les silhouettes droites aux épaules imposantes s’agrémentent de cadenas, épingles à nourrice,  cuir verni et de matières ultra moulantes ou de cuissardes XXL. La collection, Balenciaga par Demna Gvasalia qui pioche dans le dramatique et l’extravagant, explore également la notion de désir en débauchant un vestiaire austère à coups de détails fétichistes et érotiques. Ainsi les silhouettes droites aux épaules imposantes s’agrémentent de cadenas, épingles à nourrice,  cuir verni et de matières ultra moulantes ou de cuissardes XXL.
  • Pour Olivier Rousteing, directeur artistique de Balmain, créations glamour et graphiques se confondent dans des collections maximalistes qui revisitent cet hiver le style bourgeois. Dès les premières silhouettes, la femme s’impose avec un long pardessus noir aux épaules XXL, des lunettes masques et une démarche robotique.

    Pour Olivier Rousteing, directeur artistique de Balmain, créations glamour et graphiques se confondent dans des collections maximalistes qui revisitent cet hiver le style bourgeois. Dès les premières silhouettes, la femme s’impose avec un long pardessus noir aux épaules XXL, des lunettes masques et une démarche robotique. Pour Olivier Rousteing, directeur artistique de Balmain, créations glamour et graphiques se confondent dans des collections maximalistes qui revisitent cet hiver le style bourgeois. Dès les premières silhouettes, la femme s’impose avec un long pardessus noir aux épaules XXL, des lunettes masques et une démarche robotique.
  • Si la coupe droite, la longueur sous le genou et le col agrémenté d’une cravate de cette silhouette Prada évoque les uniformes si chers à Miuccia Prada, le manteau en peau sans manche aux épaules XXL est ici une armure protectrice imposante. Une fois de plus on retrouve l'extrême talent de la créatrice italienne pour déconstruire tous les clichés associés à la féminité.

    Si la coupe droite, la longueur sous le genou et le col agrémenté d’une cravate de cette silhouette Prada évoque les uniformes si chers à Miuccia Prada, le manteau en peau sans manche aux épaules XXL est ici une armure protectrice imposante. Une fois de plus on retrouve l'extrême talent de la créatrice italienne pour déconstruire tous les clichés associés à la féminité. Si la coupe droite, la longueur sous le genou et le col agrémenté d’une cravate de cette silhouette Prada évoque les uniformes si chers à Miuccia Prada, le manteau en peau sans manche aux épaules XXL est ici une armure protectrice imposante. Une fois de plus on retrouve l'extrême talent de la créatrice italienne pour déconstruire tous les clichés associés à la féminité.
  • Pour la collection automne-hiver 2020-2021 de Louis Vuitton, Nicolas Ghesquière offre en effet un patchwork inédit d’influences et d’époques qui renouvelle l’idée d’upcycling, non plus à l’échelle du vêtement mais à celle de la silhouette. On retrouve ainsi d’épais jupons qui évoquent les dessous des robes à crinolines associés à des pièces en provenance de l’univers automobile comme cette épais blouson en patchwork de cuir coloré. 

    Pour la collection automne-hiver 2020-2021 de Louis Vuitton, Nicolas Ghesquière offre en effet un patchwork inédit d’influences et d’époques qui renouvelle l’idée d’upcycling, non plus à l’échelle du vêtement mais à celle de la silhouette. On retrouve ainsi d’épais jupons qui évoquent les dessous des robes à crinolines associés à des pièces en provenance de l’univers automobile comme cette épais blouson en patchwork de cuir coloré.  Pour la collection automne-hiver 2020-2021 de Louis Vuitton, Nicolas Ghesquière offre en effet un patchwork inédit d’influences et d’époques qui renouvelle l’idée d’upcycling, non plus à l’échelle du vêtement mais à celle de la silhouette. On retrouve ainsi d’épais jupons qui évoquent les dessous des robes à crinolines associés à des pièces en provenance de l’univers automobile comme cette épais blouson en patchwork de cuir coloré. 
  • Jonathan Anderson propose un vestiaire volumineux qui dote le corps d’une allure majestueuse. La maîtrise technique du directeur artistique de Loewe n’est plus à prouver, en témoigne cette tunique noire doté de manches XXL aux épaules surdimensionnées.

    Jonathan Anderson propose un vestiaire volumineux qui dote le corps d’une allure majestueuse. La maîtrise technique du directeur artistique de Loewe n’est plus à prouver, en témoigne cette tunique noire doté de manches XXL aux épaules surdimensionnées. Jonathan Anderson propose un vestiaire volumineux qui dote le corps d’une allure majestueuse. La maîtrise technique du directeur artistique de Loewe n’est plus à prouver, en témoigne cette tunique noire doté de manches XXL aux épaules surdimensionnées.
  • À travers un nuage de fumée progressant sur le sol, les amazones de Rick Owens fendent le podium dans de longues robes asymétriques coupées en biais. Pour l'hiver prochain, le "pape du goth", comme la presse aime à le surnommer, bouleverse la ligne droite des épaules : il encadre le visage de ses modèles d’épaulettes exacerbées, taillées en ailerons, qui confèrent aux silhouettes une allure menaçante.

    À travers un nuage de fumée progressant sur le sol, les amazones de Rick Owens fendent le podium dans de longues robes asymétriques coupées en biais. Pour l'hiver prochain, le "pape du goth", comme la presse aime à le surnommer, bouleverse la ligne droite des épaules : il encadre le visage de ses modèles d’épaulettes exacerbées, taillées en ailerons, qui confèrent aux silhouettes une allure menaçante. À travers un nuage de fumée progressant sur le sol, les amazones de Rick Owens fendent le podium dans de longues robes asymétriques coupées en biais. Pour l'hiver prochain, le "pape du goth", comme la presse aime à le surnommer, bouleverse la ligne droite des épaules : il encadre le visage de ses modèles d’épaulettes exacerbées, taillées en ailerons, qui confèrent aux silhouettes une allure menaçante.
  • Imaginée comme un voyage romantique entre le Maroc et la Russie, la collection automne-hiver 2020-2021 piochait aussi dans une esthétique inspirée du style marin. Parmi les long manteaux, cabans, marinières, caftan et djellaba, cette veste blanche de capitaine féminisée avec ces épaules marquées et portée à même la peau.

    Imaginée comme un voyage romantique entre le Maroc et la Russie, la collection automne-hiver 2020-2021 piochait aussi dans une esthétique inspirée du style marin. Parmi les long manteaux, cabans, marinières, caftan et djellaba, cette veste blanche de capitaine féminisée avec ces épaules marquées et portée à même la peau. Imaginée comme un voyage romantique entre le Maroc et la Russie, la collection automne-hiver 2020-2021 piochait aussi dans une esthétique inspirée du style marin. Parmi les long manteaux, cabans, marinières, caftan et djellaba, cette veste blanche de capitaine féminisée avec ces épaules marquées et portée à même la peau.
  • Si confort et style émanent de cette collection hivernale Isabel Marant, certaines silhouettes aux coupes vintage piochent dans l’esthétique extravagante et festive des années 80 comme cette petite robe noire à paillettes qui soulignent la taille et dévoilantes jambes.

    Si confort et style émanent de cette collection hivernale Isabel Marant, certaines silhouettes aux coupes vintage piochent dans l’esthétique extravagante et festive des années 80 comme cette petite robe noire à paillettes qui soulignent la taille et dévoilantes jambes. Si confort et style émanent de cette collection hivernale Isabel Marant, certaines silhouettes aux coupes vintage piochent dans l’esthétique extravagante et festive des années 80 comme cette petite robe noire à paillettes qui soulignent la taille et dévoilantes jambes.
  • Dans une collection Saint Laurent par Anthony Vaccarello au sein de laquelle la bourgeoise s'habille de pièces en latex luisante et moulante, la dentelle joue les contrastes de matières tandis que les vestes en laine Prince de Galles aux épaule marquées jouent les contrastes.

    Dans une collection Saint Laurent par Anthony Vaccarello au sein de laquelle la bourgeoise s'habille de pièces en latex luisante et moulante, la dentelle joue les contrastes de matières tandis que les vestes en laine Prince de Galles aux épaule marquées jouent les contrastes. Dans une collection Saint Laurent par Anthony Vaccarello au sein de laquelle la bourgeoise s'habille de pièces en latex luisante et moulante, la dentelle joue les contrastes de matières tandis que les vestes en laine Prince de Galles aux épaule marquées jouent les contrastes.
  • Dans une collection Alexander McQueen qui s’inspire des costumes, du tailoring et du folklore du pays de Galles, les looks de cette saison dessinent une sorte d'allégorie des dieux et déesses de la mythologie celtique. Sarah Burton orne ce manteau court aux manches agrémentées de volants XXL pouf une silhouette onirique.

    Dans une collection Alexander McQueen qui s’inspire des costumes, du tailoring et du folklore du pays de Galles, les looks de cette saison dessinent une sorte d'allégorie des dieux et déesses de la mythologie celtique. Sarah Burton orne ce manteau court aux manches agrémentées de volants XXL pouf une silhouette onirique. Dans une collection Alexander McQueen qui s’inspire des costumes, du tailoring et du folklore du pays de Galles, les looks de cette saison dessinent une sorte d'allégorie des dieux et déesses de la mythologie celtique. Sarah Burton orne ce manteau court aux manches agrémentées de volants XXL pouf une silhouette onirique.
  • Chez Givenchy automne-hiver 2020-2021, les silhouettes, souvent austères mais toujours élégantes, sont parfois déclinées dans des matières fluide comme des soies ondulantes aux motifs graphiques tandis que des tailles cintrées et des épaules marquées apportent structure et tenue.  

    Chez Givenchy automne-hiver 2020-2021, les silhouettes, souvent austères mais toujours élégantes, sont parfois déclinées dans des matières fluide comme des soies ondulantes aux motifs graphiques tandis que des tailles cintrées et des épaules marquées apportent structure et tenue.   Chez Givenchy automne-hiver 2020-2021, les silhouettes, souvent austères mais toujours élégantes, sont parfois déclinées dans des matières fluide comme des soies ondulantes aux motifs graphiques tandis que des tailles cintrées et des épaules marquées apportent structure et tenue.  
  • La collection automne-hiver 2020-2021 d’Area fait la part belle aux bijoux corporels - tellement présents qu'ils en deviennent des vêtements à part entière - doublée d'une esthétique flirtant avec le disco et le kitsch. Les franges et structures de strass évoquent certains costumes africains en raphia- notamment ceux du Royaume du Kongo - à l’instar de cette robe et son plastron aux épaules aux allures d’armure.

    La collection automne-hiver 2020-2021 d’Area fait la part belle aux bijoux corporels - tellement présents qu'ils en deviennent des vêtements à part entière - doublée d'une esthétique flirtant avec le disco et le kitsch. Les franges et structures de strass évoquent certains costumes africains en raphia- notamment ceux du Royaume du Kongo - à l’instar de cette robe et son plastron aux épaules aux allures d’armure. La collection automne-hiver 2020-2021 d’Area fait la part belle aux bijoux corporels - tellement présents qu'ils en deviennent des vêtements à part entière - doublée d'une esthétique flirtant avec le disco et le kitsch. Les franges et structures de strass évoquent certains costumes africains en raphia- notamment ceux du Royaume du Kongo - à l’instar de cette robe et son plastron aux épaules aux allures d’armure.
  • Comme toujours chez Mugler, les tailles sont marquées, les courbes sont soulignées et les épaules accentuées par des ensembles où le corps devient structure. Casey Cadwallader présente ici un vestiaire plus “hard”  où les modèles portent sur elles une sexualité assumée, presque offensive. 

    Comme toujours chez Mugler, les tailles sont marquées, les courbes sont soulignées et les épaules accentuées par des ensembles où le corps devient structure. Casey Cadwallader présente ici un vestiaire plus “hard”  où les modèles portent sur elles une sexualité assumée, presque offensive.  Comme toujours chez Mugler, les tailles sont marquées, les courbes sont soulignées et les épaules accentuées par des ensembles où le corps devient structure. Casey Cadwallader présente ici un vestiaire plus “hard”  où les modèles portent sur elles une sexualité assumée, presque offensive. 

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