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29 9 salopettes sélectionnées par Numéro homme

9 salopettes sélectionnées par Numéro homme

Tendances 2023

Extra-large et décontractée chez Jacquemus, ajustée et technique chez Alyx, en velour chez Isabel Marant ou en denim chez Gucci voire multicolore chez Bethany Williams, les salopettes ont ponctué plusieurs défilés de la saison homme automne-hiver 2020-2021. Numéro homme a sélectionné 9 modèles revisitant ce vêtement aussi élégant qu'utilitaire. 

  • 1997 : tel était le nom de la collection imaginée par Simon Porte Jacquemus pour la saison automne-hiver 2020-2021. Empreinte de la nostalgie du créateur français pour la décennie de son enfance, celle-ci déclinait ses silhouettes dans des couleurs douces, telles que le beige, le jaune ou vert pastel auxquels se joint le bleu marine du denim de cette salopette extra-large, boutonnée sur les deux côtés des jambes.

    1997 : tel était le nom de la collection imaginée par Simon Porte Jacquemus pour la saison automne-hiver 2020-2021. Empreinte de la nostalgie du créateur français pour la décennie de son enfance, celle-ci déclinait ses silhouettes dans des couleurs douces, telles que le beige, le jaune ou vert pastel auxquels se joint le bleu marine du denim de cette salopette extra-large, boutonnée sur les deux côtés des jambes. 1997 : tel était le nom de la collection imaginée par Simon Porte Jacquemus pour la saison automne-hiver 2020-2021. Empreinte de la nostalgie du créateur français pour la décennie de son enfance, celle-ci déclinait ses silhouettes dans des couleurs douces, telles que le beige, le jaune ou vert pastel auxquels se joint le bleu marine du denim de cette salopette extra-large, boutonnée sur les deux côtés des jambes.
  • Pour fêter les cinq ans de collaboration entre Gucci et son directeur artistique Alessandro Michele, la collection imaginée par le créateur italien invitait à se replonger dans les souvenirs d’enfance. En atteste cet ensemble résolument vintage où une salopette large en denim délavé se porte avec un cardigan en maille et un fin foulard fleuri.

    Pour fêter les cinq ans de collaboration entre Gucci et son directeur artistique Alessandro Michele, la collection imaginée par le créateur italien invitait à se replonger dans les souvenirs d’enfance. En atteste cet ensemble résolument vintage où une salopette large en denim délavé se porte avec un cardigan en maille et un fin foulard fleuri. Pour fêter les cinq ans de collaboration entre Gucci et son directeur artistique Alessandro Michele, la collection imaginée par le créateur italien invitait à se replonger dans les souvenirs d’enfance. En atteste cet ensemble résolument vintage où une salopette large en denim délavé se porte avec un cardigan en maille et un fin foulard fleuri.
  • Depuis 2015, Matthew M. Williams s’est illustré par son utilisation du cuir dans un vestiaire streetwear. Au sein d’une collection mixte de son label 1917 Alyx 9SM, le trentenaire américain – récemment nommé à la direction artistique de Givenchy – propose notamment une salopette en cuir d’agneau grainé noir dotée de détails techniques, à l’instar des doubles poches à zip vertical ou des coutures obliques au-dessus des genoux.

    Depuis 2015, Matthew M. Williams s’est illustré par son utilisation du cuir dans un vestiaire streetwear. Au sein d’une collection mixte de son label 1917 Alyx 9SM, le trentenaire américain – récemment nommé à la direction artistique de Givenchy – propose notamment une salopette en cuir d’agneau grainé noir dotée de détails techniques, à l’instar des doubles poches à zip vertical ou des coutures obliques au-dessus des genoux. Depuis 2015, Matthew M. Williams s’est illustré par son utilisation du cuir dans un vestiaire streetwear. Au sein d’une collection mixte de son label 1917 Alyx 9SM, le trentenaire américain – récemment nommé à la direction artistique de Givenchy – propose notamment une salopette en cuir d’agneau grainé noir dotée de détails techniques, à l’instar des doubles poches à zip vertical ou des coutures obliques au-dessus des genoux.
  • Si les pistes de ski sont fermées en France cet année, cela n’empêche pas de se pencher sur la ligne dédiée aux sports d’hiver de Moncler, baptisée Moncler Grenoble. Son directeur artistique, l’Italien Sandro Mandrino, a imaginé l’hiver dernier un modèle adapté aux climats d’altitude : cette salopette blanche et noire pourvue de nombreux zips, idéale pour glisser sur ses skis et marcher dans la neige hors des pistes.

    Si les pistes de ski sont fermées en France cet année, cela n’empêche pas de se pencher sur la ligne dédiée aux sports d’hiver de Moncler, baptisée Moncler Grenoble. Son directeur artistique, l’Italien Sandro Mandrino, a imaginé l’hiver dernier un modèle adapté aux climats d’altitude : cette salopette blanche et noire pourvue de nombreux zips, idéale pour glisser sur ses skis et marcher dans la neige hors des pistes. Si les pistes de ski sont fermées en France cet année, cela n’empêche pas de se pencher sur la ligne dédiée aux sports d’hiver de Moncler, baptisée Moncler Grenoble. Son directeur artistique, l’Italien Sandro Mandrino, a imaginé l’hiver dernier un modèle adapté aux climats d’altitude : cette salopette blanche et noire pourvue de nombreux zips, idéale pour glisser sur ses skis et marcher dans la neige hors des pistes.
  • Fondé en 2017 par le Californien Spencer Phipps, le label Phipps est taillé pour les aventuriers arpentant les montagnes, explorant les forêts et pédalant en vélo sur les routes, tout en plaçant le fonctionnel et la préservation de la nature au cœur de son identité. Inspirée du workwear, cette salopette bicolore en coton bio s’agrémente sur ses poches et empiècements de nombreux clous.

    Fondé en 2017 par le Californien Spencer Phipps, le label Phipps est taillé pour les aventuriers arpentant les montagnes, explorant les forêts et pédalant en vélo sur les routes, tout en plaçant le fonctionnel et la préservation de la nature au cœur de son identité. Inspirée du workwear, cette salopette bicolore en coton bio s’agrémente sur ses poches et empiècements de nombreux clous. Fondé en 2017 par le Californien Spencer Phipps, le label Phipps est taillé pour les aventuriers arpentant les montagnes, explorant les forêts et pédalant en vélo sur les routes, tout en plaçant le fonctionnel et la préservation de la nature au cœur de son identité. Inspirée du workwear, cette salopette bicolore en coton bio s’agrémente sur ses poches et empiècements de nombreux clous.
  • Désireuse depuis 26 ans d’allier simplicité et confort, la créatrice française Isabel Marant propose pour la saison automne-hiver un vestiaire chaud et des pièces duveteuses idéales pour les journées froides de l’hiver. Assortie à un pull irlandais, cette salopette beige à doubles passants est coupée dans un velours de coton côtelé.

    Désireuse depuis 26 ans d’allier simplicité et confort, la créatrice française Isabel Marant propose pour la saison automne-hiver un vestiaire chaud et des pièces duveteuses idéales pour les journées froides de l’hiver. Assortie à un pull irlandais, cette salopette beige à doubles passants est coupée dans un velours de coton côtelé. Désireuse depuis 26 ans d’allier simplicité et confort, la créatrice française Isabel Marant propose pour la saison automne-hiver un vestiaire chaud et des pièces duveteuses idéales pour les journées froides de l’hiver. Assortie à un pull irlandais, cette salopette beige à doubles passants est coupée dans un velours de coton côtelé.
  • Dès les récents débuts de son label, Per Götesson a fait du denim son matériau fétiche en le déclinant dans ses silhouettes oversize. Ici, le créateur suédois en réalise une salopette ultra-fluide nouée à la taille, dont les jambes à pattes d’éléphant touchent même le sol.

    Dès les récents débuts de son label, Per Götesson a fait du denim son matériau fétiche en le déclinant dans ses silhouettes oversize. Ici, le créateur suédois en réalise une salopette ultra-fluide nouée à la taille, dont les jambes à pattes d’éléphant touchent même le sol. Dès les récents débuts de son label, Per Götesson a fait du denim son matériau fétiche en le déclinant dans ses silhouettes oversize. Ici, le créateur suédois en réalise une salopette ultra-fluide nouée à la taille, dont les jambes à pattes d’éléphant touchent même le sol.
  • Figure émergente d'une mode écoresponsable et finaliste du prix LVMH en 2019, la Londonienne Bethany Williams n’hésite pas à valoriser l’artisanat et l’upcycling dans le label qui porte son nom. Pour cette saison, elle propose des pièces inspirées de vêtements pour enfants piochés parmi la vaste collection du Victoria and Albert Museum of Childhood, dont cette salopette conçue comme une mosaïque de couleurs.

    Figure émergente d'une mode écoresponsable et finaliste du prix LVMH en 2019, la Londonienne Bethany Williams n’hésite pas à valoriser l’artisanat et l’upcycling dans le label qui porte son nom. Pour cette saison, elle propose des pièces inspirées de vêtements pour enfants piochés parmi la vaste collection du Victoria and Albert Museum of Childhood, dont cette salopette conçue comme une mosaïque de couleurs. Figure émergente d'une mode écoresponsable et finaliste du prix LVMH en 2019, la Londonienne Bethany Williams n’hésite pas à valoriser l’artisanat et l’upcycling dans le label qui porte son nom. Pour cette saison, elle propose des pièces inspirées de vêtements pour enfants piochés parmi la vaste collection du Victoria and Albert Museum of Childhood, dont cette salopette conçue comme une mosaïque de couleurs.
  • Originaire du Maroc, le jeune créateur Charaf Tajer lui rend hommage dès le nom de son label de prêt-à-porter masculin : Casablanca. Parmi des pièces multicolores et des motifs inspirés par la ville où il a grandi, celui-ci dévoile dans sa collection automne-hiver 2020-2021 une salopette beige habillée du monogramme du label, dont le motif s’inspire lui-même des moucharabiehs marocains.

    Originaire du Maroc, le jeune créateur Charaf Tajer lui rend hommage dès le nom de son label de prêt-à-porter masculin : Casablanca. Parmi des pièces multicolores et des motifs inspirés par la ville où il a grandi, celui-ci dévoile dans sa collection automne-hiver 2020-2021 une salopette beige habillée du monogramme du label, dont le motif s’inspire lui-même des moucharabiehs marocains. Originaire du Maroc, le jeune créateur Charaf Tajer lui rend hommage dès le nom de son label de prêt-à-porter masculin : Casablanca. Parmi des pièces multicolores et des motifs inspirés par la ville où il a grandi, celui-ci dévoile dans sa collection automne-hiver 2020-2021 une salopette beige habillée du monogramme du label, dont le motif s’inspire lui-même des moucharabiehs marocains.

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