Parcels chante en plein milieu du désert australien
Le groupe australien de musique, Parcels, investit les terres arides de l’Australie, et livre, en live, son titre “Free” sorti en juin, mixé par James Ford, fréquent collaborateur d’Arctic Monkeys.
Par La rédaction.
Dans les territoires reculés de l’Australie – l’outback –, la terre rouge et poussiéreuse est séchée par le soleil. Le mont Uluru, immense plateau de près de 350 mètres de hauteur au plein centre de l’Australie, est la parfaite illustration de cet environnement unique. Il domine les plaines s’étendant à perte de vue et demeure le lieu sacré des peuples aborigènes. Le groupe australien de musique, Parcels, investit ces terres arides, et livre, en live, son titre “Free” sorti en juin, mixé par James Ford, fréquent collaborateur d’Arctic Monkeys. Ils se sont posés là, au milieu de l’Australie, face à un Silverton Hotel – dont la devanture est digne du western Il était une fois dans l’Ouest de Sergio Leone (1968) – qui est, sans doute, l’unique lieu d’activité de cette commune de 50 habitants. Dans ce paysage lunaire, tout fait d’ocre, le groupe Parcels (composé d’Anatole Serret aux percussions, du chanteur et guitariste Jules Crommelin, de Louie Swain et Patrick Hetherington aux claviers, et de Noah Hill à la basse) reste fidèle à lui même : un look seventies, des moustaches et des mèches rebelles façon hippie et une musique qui oscille entre synthés pop de Metronomy et la French touch des Daft Punk. Les musiciens envoûtent les habitants du coin, bienveillants et intrigués de voir, chez eux, un mini concert.